L’ESPRIT MAISON LOUVE

Maison Louve est née de l’histoire personnelle de Stéphanie Bergeon, qui a su créer au fil du temps un univers où la femme et l’expression de celle-ci prennent une place particulière dans la matière. C’est un langage inventé, au vocabulaire poétique, un dialogue mystérieux, sensuel, presque animal où le bois s’apprivoise avec patience et mérite.
Stéphanie est passionnée de contes, d’histoires racontées, elle est convaincue depuis toujours de leurs pouvoirs, celui de nourrir l’âme et celui de soigner l’être que nous sommes. En associant le design à l’artisanat, les techniques traditionnelles d’ébénisterie et la créativité, Maison Louve est comme un conte qui invite à se poser, à écouter ce que l’histoire de l’objet raconte de nous-même. L’essence même du travail de Maison Louve est de créer des pièces qui ont une signification, un sens, quel qu’il soit, dans l’histoire de celui qui les détient et il y a au delà de l’objet un désir de cultiver un style de vie de plus en plus en accord avec ce que nous ressentons et ce que nous sommes.
Comme nous, chaque pièce est unique, chaque morceau choisi, chaque veinage de bois a sa propre origine et sa propre histoire et le geste de l’artisan-créateur en révèle tous les aspects.

En quête de l’essence,
partager ma passion c’est aussi partager un peu de ma vision du monde…

Je ne t’aime pas comme rose de sel, ni topaze
Ni comme flèche d’oeillets propageant le feu :
Je t’aime comme l’on aime certaines choses obscures,
De façon secrète, entre l’ombre et l’âme.

Je t’aime comme la plante qui ne fleurit pas
Et porte en soi, cachée, la lumière de ces fleurs,
Et grâce à ton amour dans mon corps vit l’arôme
Obscur et concentré montant de la terre.
Je t’aime sans savoir comment, ni quand, ni d’où,
Je t’aime directement sans problèmes ni orgueil :
Je t’aime ainsi car je ne sais aimer autrement,
Si ce n’est de cette façon sans être ni toi ni moi,
Aussi près que ta main sur ma poitrine est la mienne,
Aussi près que tes yeux se ferment sur mon rêve.

Pablo Neruda (Sonnet XVII)

« C’est un dialogue qui s’installe avec la matière. »
Stéphanie BERGEON
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